VIOLENCE ET VIOLENCES

Poison violent des vertueux

Que dire de la violence débridée des « belles âmes » impitoyables ?

Que dire du féminisme « radical », si peu féministe mais empreint de destructivité radicale à l’instar de la « relève féministe » et des enquêteurs de « Reporterre » ?                  Que dire des commentateurs médiatiques mis en appétit par l’évènement de nature à fabriquer du sensationnel ?                                                                                                 Que dire des politiques soudainement empreint de sagesse morale appelant à des actes symboliques forts ?

Qui donc peut se prévaloir d’avoir pu, toujours, ajuster sa conduite lorsque des circonstances provoquent la montée d’affects, envahissant soudain le corps et l’esprit, mettant en péril la maîtrise qui conviendrait ?

Que peut-il en être dit valablement, sans plus savoir ? Ne peut-on s’en tenir au fait avoué, donc au peu que l’on sait, cela suffisant à désapprouver, sans qu’il soit besoin ni d’en rajouter, ni surtout de s’engouffrer dans des jugements sans appel ?

 

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